Après le choc tarifaire du 2 avril dernier, le moratoire de 90 jours sur les droits de douane réciproques décidé par l’administration Trump donne de l’espace à la négociation. Que les États-Unis soient prêts à renoncer à leurs exigences maximalistes pour trouver des accords au cas par cas peut être considéré comme une bonne nouvelle. Une sortie du conflit par le haut est possible. Elle n’est toutefois pas garantie. Point de situation complet avec Sébastien Gyger, CIO de la BCV.