Dans les réseaux sociaux: des profs et des psychologues
Ils sont devenus centraux dans notre vie. Les réseaux sociaux ont pris une place prépondérante dans notre quotidien: qu’il s’agisse de gérer nos relations amicales, professionnelles ou amoureuses, ils sont omniprésents. En Suisse, Facebook compte à lui seul 4,2 millions d’utilisateurs actifs, sur 8,3 millions d’habitants, LinkedIn 2,4 millions et Instagram 1,5 million. Reste que ces outils sont évolutifs: ils proposent sans cesse de nouvelles fonctionnalités, de nouvelles options, bref ils se développent et se complexifient. Marketplace, les achats ou les appels via Messenger n’existaient pas quand Facebook est né, en 2004. Or plus ces outils offrent de services, plus les utilisateurs leur fournissent d’informations – numéro de téléphone, de carte de crédit –, et plus il est nécessaire de comprendre les paramétrages de confidentialité. Car évidemment, parallèlement, le cyberharcèlement et la criminalité en ligne ont explosé; ses coûts pour l’économie mondiale sont estimés à 6000 milliards de francs pour 2021, deux fois plus qu’en 2016.